L’objectif de la Debating Society de la Fondation suisse d’études est de mieux faire connaître l’art du débat aux étudiants des différentes filières et de leur offrir une plateforme de discussion. L’Intellectual Tool «Art of Debating» fait partie intégrante de la Debating Society: l’art du débat est enseigné aux novices par des Debating Coaches expérimentés. En outre, un tournoi de débats est organisé chaque année, où des débatteurs de toute la Suisse rivalisent les uns contre les autres.
Le congé de paternité devrait-il être obligatoire? Un revenu de base inconditionnel est-il la bonne voie pour la Suisse? Des impôts sur les successions de 100 % seraient-ils justifiés? Ces questions et beaucoup d’autres encore – dites «Motions» – font l’objet d’un débat au sein de la Debating Society de la Fondation suisse d’études.
Les débats ont principalement lieu dans le style du parlement britannique. Après l’annonce du sujet et un court moment de préparation de 15 minutes, quatre équipes de deux s’affrontent. Chaque orateur dispose d’un temps de parole de cinq minutes. Le jury décide ensuite qui est le vainqueur: il lui incombe de désigner l’équipe ayant fourni les meilleurs arguments – et les plus convaincants.
Poser les questions adéquates, faire face à d’autres opinions et argumenter avec précision; tout cela est exercé lors des débats. Les étudiants de la Fondation intéressés seront les bienvenus lors de l’un de nos prochains événements. De même, nous serons très heureux de rencontrer des membres de la Fondation souhaitant s’engager activement au sein de la Debating Society.
Contact: debating@studienstiftung.ch
«Participer aux débats est passionnant pour moi, car, dans un débat, il faut toujours trouver de nouveaux contre-arguments concluants et les présenter de manière cohérente en un temps très court pour gagner. Même si un thème est déjà familier, chaque débat est unique.» Eva Altmann, membre de la Debating Society, encouragée de la Fondation suisse d’études depuis 2011 et étudiante en droit.
«Ce qui me plaît particulièrement lors des débats, c’est que je peux aborder des thèmes très différents tout en devant toujours faire preuve d’autocritique quant à mon point de vue.» Julia Biller, encouragée de la Fondation suisse d’études depuis 2012 et étudiante en sciences de la communication.